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Tuesday, September 9, 2014

Ebook gratuit Le Cinéma français

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Le Cinéma français

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Le Cinéma français

Détails sur le produit

Relié: 360 pages

Editeur : La Martinière (30 octobre 2014)

Collection : Art et spectacle

Langue : Français

ISBN-10: 2732451320

ISBN-13: 978-2732451329

Dimensions du produit:

25,9 x 3,3 x 31,8 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

2 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

275.354 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Rapide, efficace, le cadeau arrive à bon port en temps en heure. Le cinéma est un voyage géographique, historique ,dans l'espace temps et en meme temps intérieur. Quoi de mieux à ce prix?

A l'image de Le cinéma italien de Jean Gili, La Martinière édite Le cinéma français, placé sous l'égide de l'ancien critique de Télérama et du Monde Jean-Luc Douin, à qui l'on doit un Alain Resnais de très bonne facture publié l'année dernière. Dans les deux cas, il s'agit de 'beaux livres' de grand format, richement illustrés et fort bien mis en page.Le principe reste le même que pour l'ouvrage de Gili : chaque période (le muet, l'âge d'or du cinéma parlant, l'occupation, l'après-guerre, la Nouvelle Vague, le réalisme critique, les années Mitterrand, les enfants de la FEMIS) a droit à plusieurs pages présentant les enjeux, les évolutions, les oeuvres majeures et symptomatiques, etc. Pour chacune de ces périodes, Jean-Luc Douin a choisi un certain nombre d'oeuvres qui sont résumées et commentées sur deux à trois pages chacune. Les textes, synthétiques, couvrent bien le terrain. Les illustrations bénéficient d'une qualité de reproduction excellente, aussi bien pour le N&B que pour la quadrichromie.Bien sûr, on pourra toujours discuter les choix des oeuvres qu'il fallait commenter. Si l'on trouvera à peu près tous les films qu'on s'attendrait à trouver - en particulier jusqu'aux années 70 - les uns et les autres regretteront l'absence de certains de leurs films préférés. On sait que c'est inévitable, pas la peine par conséquent de faire de mauvais procès, d'autant que les films choisis ne sont évidemment pas anecdotiques. Je me bornerai à constater que si je ne me vois pas contester la sélection opérée pour les premières décennies, je n'en dirais pas tout à fait autant pour celle des 25 dernières années.Douin apporte de toute façon la parade dès son introduction, en indiquant : "Comment raconter l'histoire de ce cinéma français que le monde entier envie tant par ses structures financières que par la palette de ses sensibilités? En évitant la recension encyclopédique, optant pour une promenade plus ludique, nous avons choisi d'illustrer cette saga artistique par une sélection, film par film, au fil d'un parcours chronologique où se côtoient les oeuvres emblématiques, incontournables de cinémathèques, les plébiscites populaires, et les illuminations subjectives. Il n'est de véritable musée que hanté par son imaginaire."Fort bien, mais après c'est question d'équilibre et de dosage. Comme je le disais, il me semble peu attaquable pour toutes les premières périodes. Certes, quelques films et/ou auteurs ne trouvent à mon sens pas toute la place qu'ils méritent. Il en va ainsi de Raymond Bernard, auquel une entrée aurait pu être consacrée, pour ce qui reste une des meilleures adaptations de Victor Hugo - Les Misérables - ou un des films français sur la 1ère Guerre mondiale les plus emblématiques - Les Croix de bois. J'aurais pour ma part bien aimé que des cinéastes aussi capitaux que Jean Grémillon ou Max Ophüls ne voient pas un seul de leurs films traité : quand bien même Remorques et Madame de... feraient partie de leurs plus essentiels, un deuxième n'aurait pas été déplacé. D'autant que tous les autres auteurs majeurs de la période (de Julien Duvivier à Jacques Becker) ont droit à deux titres - "le Patron", Jean Renoir, se taille évidemment la part du lion avec quatre films étudiés de plus près, à parité avec Marcel Carné. Douin peut avoir quelques repentirs grâce au système des encadrés. Mais trois petites colonnes pour une oeuvre aussi novatrice, à l'histoire aussi tourmentée, que Lola Montès par exemple, ne peut de toute évidence pas suffire. Il faut cependant reconnaître qu'il profite de l'éclairage sur certains films pour parler plus généralement de l'oeuvre de l'auteur. On ne pinaillera par ailleurs pas sur le choix de tel film de tel cinéaste plutôt que tel autre. Fallait-il oublier Panique pour ce qui est de Duvivier par exemple? C'est dans certains cas dommage, mais c'est sans doute inévitable.Les films plus ou moins incontournables, quelles que soient les raisons pour lesquelles ils le sont devenus d'ailleurs, s'y trouvent donc d'une façon ou d'une autre, même si dans certains cas c'est la portion congrue qui leur est réservée. Il est à l'inverse heureux que soit jeté un coup de projecteur sur certains auteurs plus ou moins délaissés. Pour le tout début par exemple, on trouvera non seulement Lumière et Méliès, mais aussi Max Linder et André Antoine, pour qui deux pages ne sont pas hors de propos. Il y a peu à redire à ce qui suit. Si je suis quant à moi moins convaincu par la sélection des trois dernières décennies, cela est sans doute autant dû à mes goûts et à ma hiérarchie personnelle qu'à des critères plus objectifs. Je regrette ainsi que Douin ait choisi d'éclairer, dans la catégorie 'adaptations de Marcel Proust', La Captive de Chantal Ackerman plutôt que Le Temps retrouvé de Raoul Ruiz. Ou qu'il ait sélectionné Entre les murs plutôt que L'Emploi du Temps, le film de Laurent Cantet qui m'impressionne le plus, et de loin. Mais c'est là affaire de goût et tout à fait ouvert à débat. En revanche, il me semble que, au-delà de ses propres dilections, mettre en valeur Rien ne va plus pour couvrir toute la dernière période de Claude Chabrol est à peine défendable, sauf à être doté d'un solide sens du paradoxe et d'une volonté de défendre à tout prix les causes perdues. Cela dit, il l'analyse et le raccorde à d'autres de ses films de la meilleure façon possible, alors il lui sera beaucoup pardonné. On comprend sans peine, là aussi au-delà de ce vers quoi on est plus porté, que ceux qui se sont imposés ces deux dernières décennies (d'Arnaud Desplechin à Abdellatif Kechiche en passant par Bruno Dumont) occupent une place éminente dans la dernière partie, mais je pense qu'il aurait fallu laisser un peu plus d'espace à des oeuvres plus isolées, en particulier celles qui ont regardé autant ailleurs que chez nous (Voyages d'Emmanuel Finkiel, Depuis qu'Otar est parti... de Julie Bertuccelli, etc). Par ailleurs, Douin n'oublie heureusement ni le documentaire ni le cinéma d'animation. On aurait bien aimé quelques titres emblématiques supplémentaires (Le Roi et l'oiseau...), mais là aussi cela était sans doute difficile de faire beaucoup plus.Au bout du compte, toutefois, ce qui compte dans un ouvrage de ce type c'est aussi, et peut-être avant tout, que quelle que soit la place impartie à tel auteur, telle oeuvre, tel phénomène, l'aptitude à la synthèse du rédacteur lui permette d'excéder quelque peu les limites avec lesquelles il doit composer. Précise, nourrie de détails, la prose de Jean-Luc Douin est le plus souvent assez ramassée pour couvrir pas mal de terrain, assez aérée pour ne pas étouffer le lecteur sous une masse d'informations mal maîtrisées. Les explorations générales au début de chaque grand chapitre, quels que soient les défauts qu'il sera loisible de pointer, posent bien les choses, en termes de contexte large autant que de description des conditions générales de production, d'évolution des enjeux esthétiques autant que de la centralité des uns et de la marginalité des autres (d'autres éléments étant bien entendu apportés au fil des études consacrées à chaque film). Si manques il y a - et il y en a, comment pourrait-il en être autrement? - ils ne s'avèrent ni criants ni scandaleux. Le reste est critiquable de sa propre fenêtre, mais encore faut-il avoir toujours présent à l'esprit que l'on n'a pas plus que tous les autres accès à toute la vue d'une part, que l'on n'a pas une vision infaillible d'autre part (quand elle ne baisse pas dangereusement). Jean-Luc Douin brosse un tableau déjà conséquent d'un art qui a toujours été dans notre pays vivace et diversifié, pour lequel on ne peut en définitive que le remercier.

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